Novembre 1954. Une guerre qui ne porte pas encore son nom éclate en Algérie. Les commandos de la Marine, héritiers des bérets-verts du jour J, rentrent d'Indochine. Ils engagent jusqu'en 1962 un combat professionnel et sans haine contre la rébellion. Les plus jeunes d'entre eux meurent à moins de dix-huit ans.
Fer de lance des bataillons de fusiliers marins formés par Ponchardier jusqu'en 1959, les commandos combattent d'égal à égal les katibas de l'A.L.N. fraîchement infiltrées du Maroc. L'El Gaada d'Aflou, l'oued Mellal, le Goursifane, Ghassoul, Aïn Sefra, djebel Bou Amoud, Mekter, Bou Lherfad et M'Zi sont les mots clés de la longue litanie de leurs batailles.
Djebels en feu... La guerre de toute une génération, comme elle n'avait jamais été décrite.Novembre 1954. Une guerre qui ne porte pas encore son nom éclate en Algérie. Les commandos de la Marine, héritiers des bérets-verts du jour J, rentrent d'Indochine. Ils engagent jusqu'en 1962 un combat professionnel et sans haine contre la rébellion. Les plus jeunes d'entre eux meurent à moins de dix-huit ans.
Fer de lance des bataillons de fusiliers marins formés par Ponchardier jusqu'en 1959, les commandos combattent d'égal à égal les katibas de l'A.L.N. fraîchement infiltrées du Maroc. L'El Gaada d'Aflou, l'oued Mellal, le Goursifane, Ghassoul, Aïn Sefra, djebel Bou Amoud, Mekter, Bou Lherfad et M'Zi sont les mots clés de la longue litanie de leurs batailles.
Djebels en feu... La guerre de toute une génération, comme elle n'avait jamais été décrite.
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